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mercredi 7 octobre 2020

Campus Drivers, tome 2 : Book Boyfriend ; C.S. QUILL.




Édition
 : Hu
go New Romance
Prix : 17 €
Poche : -
Sortie : 01/10/2020
Pages : 425
Ebook : Oui - 7,99 €


Campus Drivers, tome 2 :
Book Boyfriend
C.S. QUILL.



Résumé.

Lorsque Donovan, Campus Drivers adulé et bourreau des coeurs avéré, prend conscience des séquelles que peut causer son comportement, il décide de devenir LE petit ami parfait.

Pour cela, il a besoin du meilleur coach dans le domaine: Carrie. Mais, même s'ils ne se sont jamais fréquentés, celle-ci sait qu'elle ne veut rien avoir à faire avec lui. Les tombeurs d'un soir en quête de repentir, elle n'y croit pas une seconde dans la vraie vie. Elle préfère collectionner les héros des romances qu'elle dévore, c'est bien moins compliqué !

S'il parvient à la convaincre, c'est un programme intensif en romantisme que va devoir suivre Donovan. Mais n'est pas un héros de New Romance qui veut, surtout quand la réalité essaie de jouer avec la fiction !















Je remercie les éditions Fyctia pour cette lecture.

Après la fin du premier opus, je n’avais qu’une hâte : lire la suite ! C.S QUILL nous tenait littéralement en haleine, nous donnant presque des envies de meurtre tellement on voulait savoir ce qu’il allait se passer.

Donovan est la star de l’équipe de basketball de son université, en plus d’être un « Campus Drivers ». Il est beau, il est populaire et il le sait. Avec les filles, il ne veut rien de sérieux.
Mais un jour, lorsqu’il se rend compte que son comportement peut engendrer de mauvaises conséquences, il décide de changer et de devenir le petit-ami idéal.
Et qui de mieux pour l’aider que Carrie ? Elle dévore les romances tous les jours et est une experte des « book boyfriends » parfaits.

Encore une fois, C.S. QUILL a fait mouche.

C’était frais, c’était pétillant et croustillant.
L’autrice joue clairement avec les codes de la romance et surtout de la « New Romance » en général pour porter la romance entre les deux personnages principaux. Elle reprend les clichés que l’on retrouve habituellement dans ce genre d’histoires pour en jouer et c’est vraiment très bien fait. J’avais peur que ça soit « too much » et que le tout devienne un peu niais, mais ce n’est finalement jamais le cas.

Les deux personnages principaux sont très intéressants à découvrir et surtout attachants.
Carrie est une jeune femme mystérieuse, plutôt solitaire et toujours la tête plongée dans un livre. Elle cache de grandes blessures, des choses difficiles qu’elle doit encore aujourd’hui gérer et se perdre dans ses histoires d’amour lui permet d’oublier son quotidien. Pourtant, lorsque Donovan lui enlève un peu la tête de ses récits, elle se rend compte que la vie « réelle » peut-être parfois intéressante et synonyme de bonheur.
Donovan est vraiment le personnage fort de cette histoire. J’ai beaucoup aimé le contraste entre le visage qu’il montre à tout le monde et celui qu’il offre à Carrie. Il lui expose ses faiblesses et sa vulnérabilité le rend incroyablement attachant.

La romance est plutôt belle, même si pour être honnête j’ai eu du mal avec au début.
Leur relation devient très vite assez particulière et ce sont ces premiers « instants » entre eux qui m’ont un peu gênée. Je ne peux pas aller plus loin dans mon explication pour ne pas vous spoiler.
Cependant, la tournure qu’elle va prendre par la suite devient plus plaisante, plus douce et mignonne, plus convaincante à mes yeux.

Concernant les histoires personnelles de Donovan et de Carrie, je ne peux pas dire que j’ai été à cent pour cent convaincue maintenant que j’y repense.
La raison pour laquelle Donovan va vouloir changer méritait selon moi plus de développement. J’ai eu l’impression de rester en surface de ce problème et d’y trouver une solution un peu trop rapide.
Concernant Carrie, son histoire nécessitait aussi un développement plus approfondi, mais c’est surtout la tournure « extrême » de certains évènements qui ne m’ont pas parus plausibles.

Malgré le fait que ces aspects de l’histoires m’aient gênés, au moment de la lecture je n’en ai pas tenu rigueur car les sentiments que l’on ressent pendant la lecture sont forts et l’emportent sur tout.

La fin suit le même schéma que le final du premier tome. Il se passe quelque chose de mystérieux, mais on ne sait pas quoi. Bizarrement, je ressens ici un peu moins de curiosité pour la suite parce que le sujet est abordé plusieurs fois dans ce livre. Mais ce n’est pas pour autant que j’en perds l’envie de lire le troisième opus !


En conclusion, « Campus Drivers, tome 2 : Book Boyfriend » est un très bon tome, digne du premier, mais légèrement en dessous. C.S QUILL m’a complètement convaincue avec sa thématique du « changement », de vouloir devenir le petit-ami parfait tout en prenant exemples dans les livres de romance. Elle reprend les codes de la new romance pour en jouer, nous offrant ainsi des scènes plutôt cultes qui m’ont fait bien rire.
Malgré tout, il me manquait un petit quelque chose pour que ça soit un vrai coup de coeur. J’aurais notamment aimé plus de développement dans les histoires des personnages principaux pour apprendre à mieux les connaître, à accepter leurs conditions et avoir des solutions pas aussi faciles.






Avez-vous lu ce livre ? 

Votre avis m'intéresse donc n'hésitez pas à poster un petit commentaire.




 

lundi 13 juin 2016

CONCOURS - 5 exemplaires d' " Étoile furtive " de Jean-Pierre RICHARD à gagner !

Salut tout le monde !



L'été n'est pas loin et quoi de mieux pour fêter cela qu'un concours ?


Les éditions Albin Michel mettent en jeu 5 exemplaires d' " Étoile furtive " de Jean-Pierre RICHARD ( que je remercie chaleureusement ).







Du jour au lendemain, Antoine est devenu un héros du Net en risquant sa vie pour sauver le dernier rhinocéros noir visé par un braconnier. Geste qui lui apporte plus de retombées que le reportage photo commandé par son agence !

Blessé à la cuisse et rapatrié en France, il tourne vite en rond dans sa chambre et s’échappe en correspondant sur le web avec une certaine Étoile Furtive. Aussi quand elle disparaît subitement, il se lance à sa recherche : il sait tout juste qu’elle habite Bordeaux. Il semble qu’Étoile Furtive soit le pseudo de Lou Vidal, fille d’un expert en art africain. Antoine rencontre donc l’énigmatique antiquaire, gagne sa confiance et... le cœur de Lou.

Jeux de séduction, magie noire : du lac Tchad aux rives de la Garonne, plongée dans un univers hitchcockien où se croisent d’énigmatiques et insaisissables personnages.









*** Pour participer ? Rien de plus simple ! ***


Remplissez correctement le formulaire ci-dessous. 

N'oubliez rien et ne faites aucune erreur. Tout formulaire mal rempli sera automatiquement disqualifié. 

L'exemplaire sera envoyé par les éditions Albin Michel*
Je ne me tiens donc pas responsable de tout colis éventuellement perdu.

L'unique condition est d'aller aimer la page Facebook de la maison. 
Vous pouvez cliquer ICI pour y accéder.



*** Vous avez jusqu'au lundi 27 juin 2016 ( 23h59 ) pour participer. ***



Bonne chance :)




RESULTATS CONCOURS


Les voici, les voilà, les cinq gagnants !

Avant tout, je tiens à tous vous remercier. Vous avez été nombreux à participer et cela m'a beaucoup touché.

Donc, voici les noms ou pseudos des cinq gagnants :


1 _ Team Littéraire
2 _ Elea Dacruz
3 _ Alyson Elder Valente
4 _ Aurélie Guignard
5 _ Florence Mattei

Je vous contacte de ce pas via mail et j'envoie vos coordonnées postales à Albin Michel pour l'envoi des lots. 



Encore merci à tous et à bientôt pour le prochain concours ;)

mercredi 28 octobre 2015

Le sixième sommeil ; Bernard WERBER

Édition : Albin Michel.
Prix : 22 €
Sortie : 30/09/2015
Pages : 416

Le sixième sommeil,
Bernard WERBER.



Résumé.

PHASE 1
Assoupissement

PHASE 2
Sommeil léger

PHASE 3
Sommeil lent

PHASE 4
Sommeil très profond

PHASE 5
Sommeil paradoxal

PHASE 6
Le sixième sommeil.
Celui de tous les possibles.

















Merci aux Editions Albin Michel pour m'avoir fait parvenir ce livre.

Bernard WERBER et moi, c'est une grande histoire d'amour.
Je l'ai connu avec « Les thanatonautes » et depuis je ne loupe aucune sortie de ses livres. Certes, je ne les ai pas tous lus, par manque de temps principalement, mais je suis son actualité avec assiduité. J'ai même eu l'occasion de le rencontrer trois fois, et ce fut extrêmement enrichissant. Cet homme est très instruit et ouvert sur le monde. Si vous avez l'occasion de le rencontrer, n'hésitez pas une seule seconde !

« Le sixième sommeil » est l'histoire de Jacques KLEIN, un homme que l'on va suivre de son enfance jusqu'à ses 48 ans.
Son père est un grand navigateur et sa mère une scientifique qui s'est spécialisée dans le sommeil. Depuis que Jacques est tout jeune, ses parents n'ont pas cessé de lui expliquer que le sommeil est très important. Tellement que, plus tard, il décide de faire carrière dans ce domaine.
Jacques mène donc une vie tranquille jusqu'au jour où, après une expérience ratée, sa mère disparaît subitement. Elle n'a laissé aucun indice derrière elle. 
Attristé, Jacques va tout de même réussir à partir sur ses traces grâce à une aide pour le moins inattendue : son " lui " plus vieux, qui lui rend visite dans ses rêves.
D'abord dubitatif, Jacques ne sait s'il doit croire cet étrange personnage. Mais une question plus importante se pose : a-t-il toujours son libre arbitre dans cette histoire ?
Entre Paris et la Malaisie, ce récit nous dévoile les secrets du sommeil.

J'étais très impatiente de lire « Le sixième sommeil ». 
Il avait d'ailleurs tout pour me plaire sur le papier : l'écriture de Bernard WERBER que j'adore, les thèmes sur le sommeil et les rêves qui me passionnent. 
Bref, j'étais très enthousiaste de commencer ce livre.. Qui ne m'a malheureusement pas autant satisfaite que ce que je croyais.

On peut clairement diviser ce bouquin en trois parties : la première qui se déroule à Paris et qui met en place l'intrigue, une seconde qui se situe en Malaisie qui est plus spirituelle et exotiqus, et enfin la dernière à Paris où l'intrigue se déroule beaucoup plus rapidement.
Si la première partie m'a vraiment plu, la seconde est plutôt ennuyeuse. L'auteur nous fait de très longues descriptions sur la faune et la flore, tellement que l'on se croit presque dans un reportage animalier. De plus, disons-le clairement : le peuple que l'on va découvrir en Malaisie n'est pas vraiment actif, ni très intéressant. Nous nous retrouvons donc pendant une bonne moitié du livre à suivre la vie d'un peuple passif, qui n'attend qu'une chose : partager leurs rêves. Malheureusement, on s'endort un peu avec eux pendant toute cette partie..

Les personnages sont un peu étranges, mais cela est monnaie courante dans les livres de Bernard WERBER. Cependant, ils étaient quand même, généralement, un peu attachants.
Ici, je n'ai pas vraiment été conquise ni émue par les personnages que j'ai tous trouvés froids et distants. Même le peuple Malaisien. 

Je pense que cet effet est surtout dû à l'aspect très scientifique de ce livre, qui aborde pourtant un sujet qui ne l'est pas vraiment de prime abord. 
J'ai eu un peu de mal à suivre certaines explications qui sont un peu poussées, comme j'ai eu souvent du mal à me sentir impliquée dans certains points. Disons que je n'étais pas préparée à border ce thème d'un point de vue scientifique. La littéraire rêveuse en moi n'a pas été satisfaite.

La trame de l'histoire est quant à elle un peu floue. 
On est un peu comme Jacques : perdu. Le personnage n'a pas vraiment de but, si ce n'est retrouver sa mère, et il perd de vue cet objectif très vite. 


Cependant, j’ai quand même retrouvé le style d’écriture de l’auteur qui me charme toujours autant. J’ai aussi apprécié les idées qu’il fait passer à travers son ouvrage, notamment sur le mode de vie de notre société actuelle et sur l’écologie ( bien que ces thèmes soient repris dans la plupart de ses livres ).





En conclusion, « Le sixième sommeil » est un livre qui nous apporte beaucoup de promesses, mais qu'on ne retrouve pas forcément à la lecture de ce livre. Bernard WERBER s'essaye dans un nouveau thème et ce n'est pas vraiment une réussite.







Un livre à lire pour ceux qui aiment les ouvrages de Bernard WERBER, et ceux qui sont passionnés par la thématique des rêves.









Avez-vous lu ce livre ? 

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mardi 25 novembre 2014

Nos étoiles contraires ; John GREEN.

Édition : Nathan.
Prix : 16,90 €
Sortie : 21/02/2013
Pages : 336


Nos étoiles contraires ,
John GREEN.


Résumé.

Hazel, 16 ans, est atteinte d’un cancer. Son dernier traitement semble avoir arrêté l’évolution de la maladie, mais elle se sait condamnée. Bien qu'elle s'y ennuie passablement, elle intègre un groupe de soutien, fréquenté par d'autres jeunes malades.
C’est là qu’elle rencontre Augustus, un garçon en rémission, qui partage son humour et son goût de la littérature.

Entre les deux adolescents, l'attirance est immédiate. Et malgré les réticences d’Hazel, qui a peur de s’impliquer dans une relation dont le temps est compté, leur histoire d’amour commence… les entraînant vite dans un projet un peu fou, ambitieux, drôle et surtout plein de vie.











Comment passer à côté de ce phénomène littéraire ?
Depuis un long moment on entend parler de ce livre sur la blogosphère, les critiques étant toutes plus élogieuses les unes que les autres. Depuis plusieurs mois, cet ouvrage fait encore plus parler de lui car il a été adapté au cinéma avec de jeunes stars dans les rôles principaux ( Shailene Woolley et Ansel Elgort, tous deux acteurs dans la série de films « Divergent » également ).

J’ai longtemps hésité à me le procurer car j’ai parfois été grandement déçue par des livres qui avaient pourtant marcher du tonnerre ( notamment « Twilight » ), mais en apprenant sa sortie au cinéma je n’ai plus hésité car je voulais voir le film ( et là, deux points à préciser : le premier est que je me rends de plus en plus compte que je lis des livres à succès en apprenant qu’ils vont être adaptés sur grand écran ; le second est que je n’ai toujours pas vu le film « Nos étoiles contraires » - la honte - ).

Maintenant que je l’ai fini, je peux vous dire que je ressors satisfaite de cette lecture mais pas forcément pour les mêmes raisons que beaucoup d’autres lecteurs.

Si vous vivez dans une grotte depuis un an, vous devez être les seuls à ne pas savoir de quoi parle ce fichu bouquin de John GREEN.
« Nos étoiles contraires » est donc l’histoire de Hazel, une jeune fille de 16 ans qui est atteinte d’un cancer de la thyroïde stade 4 diagnostiqué trois ans en arrière. Elle sait qu’elle ne pourra jamais guérir de son cancer et que les traitements qu’elle subit l’aident juste à rester en vie le plus longtemps possible.
Tombant dans la dépression, les médecins et ses parents l’obligent à participer à des réunions de soutien hebdomadaires pour qu’elle puisse prendre l’air et parler à d’autres personnes. 
C’est lors de l’une de ces réunions qu’elle va rencontrer Augustus. Ses particularités ? Il a un an de plus qu’elle, il est canon et surtout : il est en rémission de son cancer. Il a vaincu la maladie.
Ils vont de suite être attirés l’un par l’autre et commencent à passer du temps ensemble. 
Grâce à un conseil de lecture que fera Hazel à Augustus, leur histoire prendra un tournant imprévu. En effet, le jeune homme va vouloir montrer à Hansel que la vie n’est pas si terrible que ça si on s’en donne les moyens.

La première chose qui m’a plu dans ce livre est le style de l’auteur. Il est vraiment simple et accessible à tous mais très poétique et direct. Avec lui, on ne passe pas par quatre chemins pour savoir quelle idée il veut partager avec nous. 
Plusieurs genres littéraires sont présents dans cet ouvrage : le récit, la poésie, l’écriture sous forme de journal, sous forme de mails,.. Tout au long de cette lecture, on ne s’ennuie pas grâce à ce mélange des genres et l’on ne peut que constater l’étendue du talent de John GREEN : celui de maîtriser tous ces genres à la perfection et d’en faire un tout pour créer son propre style.

Toute l’histoire est contée du point de vue de Hazel. 
C’est un choix judicieux de la part de l’auteur car ce personnage est juste super intéressant. C’est une petite perle que Augustus a trouvé.
Elle est très mature pour son âge à cause de sa maladie et à un humour très cynique. Avec elle, on ne voit pas la vie en rose ça c’est sûr, mais qu’est-ce que l’on rigole ! Grâce à elle, on voit le monde d’une façon différente, on réalise des choses que l’on ne voit pas forcément lorsque l’on n’est pas touché par le cancer. On s’attache très rapidement à cette jeune fille qui évolue de façon surprenante et touchante au fil des pages : déprimée et stoïque face à la mort, elle finit par vouloir vivre pour de vrai et espérer un futur. 
Augustus est touchant aussi à sa manière. Il est passé par le cancer et a vécu ce qu’endurent les autres malades. Il sait donc comment se comporter avec eux et comment pouvoir approcher les cancéreux sans se faire repousser. 
Avec Hazel, il est tendre et affectueux mais aussi charmeur et timide. Avec lui, on est « sur des montagnes russes qui ne font que monter » mais qui finissent aussi par redescendre malheureusement. 
Les personnages secondaires sont très touchants aussi, notamment Isaac qui a aussi le cancer mais qui se préoccupe plus de ses histoires de coeur que de sa maladie.

Beaucoup des répliques de Hazel et Augustus sont tout simplement cultes.
Et c’est en cela que « Nos étoiles contraires » est un livre vraiment bon.
Au fil des pages, on reçoit une leçon de vie émouvante, belle mais aussi tellement dure. Ce bouquin est bien plus qu’une histoire d’amour entre deux jeunes personnes et c’est ça que j’ai aimé. Chaque mot est à prendre en considération et change notre vie, pour de vrai. Grâce à ce livre, on peut se rendre compte de la beauté de chaque jour et apprécier encore plus tous les petits plaisirs de la vie. 
Et c’est ça que j’ai le plus aimé dans « Nos étoiles contraires ».
Car non, je n’ai pas versé de larmes comme la plupart des lecteurs. Non, je n’ai pas été touchée plus que ça par la romance d’Hazel et Augustus. Mais OUI : je suis ressortie le coeur gros et gonflé à bloc en me disant que la vie était belle et remplie de surprises.
Et rien que pour ça, je ne peux que vous conseiller ce livre.


En conclusion, une très belle lecture mais pas un coup de coeur. C’est le premier livre de John GREEN que je lis et sûrement pas le dernier. 





Un livre à lire pour tous ceux qui sont curieux de découvrir ce phénomène qui n’arrête pas de faire parler de lui sur la blogosphère, mais aussi pour tous ceux qui veulent lire un livre profond qui nous montre la vie comme elle est : avec ses hauts et ses bas.



Note.

18,5/20



Extraits.


  • Élu « Meilleur roman 2012 » par le Time Magazine !


  • Prix de L'Échappée Lecture 2014 de la Nièvre


  • Prix du Jury littéraire Giennois 2014


  • Prix Plaisirs de lire 2014, département de l'Yonne


  • Prix des Embouquineurs 2014








  • Avez-vous lu ce livre ou un autre de cet auteur ? 
    Et êtes-vous allés voir le film au cinéma ? 

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