vendredi 27 octobre 2017

La fille qui aimait les abeilles ; Santa Maria MONTEFIORE.

Édition : Charleston.
Prix : 22,50 €
Sortie : 06/10/2017
Pages : 352
Ebook : Oui - 16,99 

La fille qui aimait les abeilles
Santa Maria MONTEFIORE.



Résumé.

1973. Trixie Valentine est amoureuse du leader d'un groupe anglais de rock qui passe l'été sur la petite île au large de Cape Cod (Massachusetts) où elle a grandi. La jeune femme en a assez de sa vie isolée, et rêve des grandes villes du monde. Elle a prévu de quitter l'île à l'automne avec Jasper ; après tout, elle ne veut pas finir comme sa mère, Grace, qui s'occupe des jardins des grands propriétaires depuis qu'elle a quitté l'Angleterre avec son mari, Freddie, à la fin de la guerre. Trixie ne comprend pas non plus l'obsession de sa mère pour les abeilles, et pourquoi elle les regarde s'affairer autour des ruches. 

1937, l'Angleterre se prépare à la guerre, et la jeune Grace Hamblin est sur le point de se marier. Mais alors qu'elle est sur le point de s'engager avec Freddie Valentine, elle est déchirée entre cet amour de jeunesse et le superbe aristocrate qu'elle ne pourra jamais épouser, malgré son amour débordant pour lui. Le prix à payer pour faire le bon choix est énorme, et elle transporte sa douleur de l'autre côté de la planète, où Freddie, revenu gravement blessé de la guerre, amène également sa propre douleur, mais aussi un énorme secret.















Je remercie les éditions Charleston pour cette lecture en tant que Lectrice Charleston 2017.

« La fille qui aimait les abeilles » est une histoire de famille. Beatrix, alias Trixie, est une jeune femme qui croque la vie à pleine dent. A Tekanasset, aux États-Unis, elle s’est éprise de Jasper, un anglais venu avec son groupe de musique pour trouver l’inspiration et devenir célèbre. 
Alors qu’elle vit une idylle avec ce jeune homme, tout le village jase à propos de Trixie et de ses moeurs légères. 
Mais un beau jour, Jasper doit quitter Tekanasset et repartir dans son village natal en Angleterre par obligation familiale, promettant à Trixie de venir la chercher un jour et de l’épouser. 
Accrochée à ce rêve, la jeune femme ne voit pas les secrets que cachent ses parents, Grace et Freddie, originaires du même village que Jasper et bien plus proches de la famille du musicien que ce que Trixie pourrait le croire.

Dès les premières lignes, je suis tombée sous le charme de cette histoire, des personnages, de l’univers de Santa Maria MONTEFIORE. 

Le récit se passe entre passé et présent, liant les destins d’une mère et d’une fille de la plus belle des façons qu’il soit. 
Trixie est une jeune femme amoureuse, qui croque la vie à pleine dent et vie au jour le jour. Elle est un électron libre et un peu incomprise, surtout par la génération précédente qui a vécu la guerre et bien d’autres horreurs, mais ont eu aussi une vie régentée par des règles bien établies. 
Lorsque son amour part dans son village natal d’Angleterre, elle espère le revoir au plus vite et ne pense pas un seul instant que Jasper la laissera tomber, malgré les avertissements de ses parents.
D’ailleurs, elle ne sait même pas qu’elle devrait écouter plus attentivement ses parents, qui viennent du même village et ont vécu une situation plus ou moins similaire. Seulement, ses parents ne lui ayant jamais parlé de leur passé, il n’est pas évident de convaincre Trixie de suivre un autre chemin. 
L’histoire alterne donc entre le présent et le passé, entre l’histoire de Trixie et celle de Grace, sa mère. Ainsi, nous découvrons ces deux femmes, de leur jeunesse jusqu’à l’âge adulte et tous les choix qui ont dicté leurs vies. Le jeu de miroir entre les deux femmes est incroyablement bien maîtrisé et pas une seule fois nous sommes ennuyés par leurs histoires alors que la fille répète les mêmes erreurs que sa mère, comme si le destin était un peu cruel. 

La nature a une place importante tout au long de l’histoire. 
Que cela soit au niveau de la flore luxuriante ou de la faune, tout le décors que créé Santa Maria MONTEFIORE est incroyablement vivant. Étant agricultrice, j’ai été particulièrement sensible à ce détail. J’avais l’impression de sentir les odeurs des fleurs et de la forêt ou d’entendre le bourdonnement des abeilles.
D’ailleurs, la nature est aussi le point commun entre plusieurs personnages et sert de lien entre Grace et Trixie, mais aussi entre Grace et son père. Un peu comme un don qui se transmettrait de générations en générations, la famille de Trixie est liée à la nature. 
Cet élément a même parfois des connotations mystiques, servant de lien entre les vivants et les morts et influant le destin des personnages. 

Les protagonistes sont dépeint à la perfection.
Aucun d’eux n’est parfait et c’est cette imperfection qui les rend incroyablement humains. 
Ils ont tous leurs défauts, font tous des erreurs et l’on suit leurs chemins à travers les années avec passion. Santa Maria MONTEFIORE a réussi à me faire accepter des décisions que je trouvais injustes, voir immorales, avec facilité, mais aussi à ce que je m’attache à tous les personnages, même les plus détestables.

Le final est très émouvant. 
Plus on avance dans l’histoire et plus nous constatons que beaucoup de secrets et de non-dits ont dictés les vies des personnages. Nous sommes comme eux, surpris de connaître enfin la vérité, parfois tristes, mais aussi stressés de savoir ce que le futur leur réserve. 
En tout cas, j’ai été entièrement satisfaite par cette fin, même si j’ai un petit pincement au coeur de laisser ces personnages et ces lieux.




En conclusion, « La fille qui aimait les abeilles » est une histoire douce comme du miel, mais aussi parfois cruelle comme le piquant d’une abeille. Santa Maria MONTEFIORE a une plume parfaite pour écrire ce genre d’histoire, pour nous plonger dans son univers et nous impliquer dans son récit. 
Ces destins de femmes vont vous émouvoir, vous attendrir, vous énerver, vous faire passer par une montagne d’émotions, mais croyez-moi : le voyage en vaut la peine.







Un livre à lire si vous aimez les sagas familiales, les destins liés et les femmes fortes.














Avez-vous lu ce livre ? 

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vendredi 20 octobre 2017

Les Insurgés, tome 2 : Addiction ; Elle KENNEDY (Outlaws #2).

Édition : Hugo Roman
          Collection New Romance.
Prix : 17 €
Sortie : 05/10/2017
Pages : 317
Ebook : Oui - 9,99 

Les Insurgés, tome 2 :
Addiction
Elle KENNEDY.



Résumé.

Lennox habitait dans un petit paradis sur terre avec sa meilleure amie Jamie, un endroit où les gens allaient et venaient et où chacun était libre de vivre à son gré.

Mais tout a changé quand ils ont été attaqués et forcés de rejoindre la bande des insurgés de Connor Mackenzie.

Lennox sait bien que Jamie est attirée par un autre que lui, mais il a toujours pensé qu’il était fait pour elle et il ne la laissera pas partir sans se battre.
Jamie sait bien que Lennox est un mec bien et attirant, mais elle ne veut pas qu’une histoire entre eux gâche la plus belle relation amicale qu’elle ait jamais connue. Mais quand l’objet de ses désirs la repousse, elle se venge en acceptant de tomber dans les bras de son meilleur ami.

Il suffit d’une seule nuit dans les bras de Lennox pour que Jamie se rende compte à quel point elle est attirée par lui. Maintenant qu’elle a goûté au vrai plaisir, elle est certaine qu’elle ne pourra plus jamais s’en passer.















Un grand merci aux éditions Hugo Roman ainsi qu'à la collection Hugo New Romance pour ce service-presse.

Dans ce second tome de la série « Les insurgés », Elle KENNEDY se focalise sur un nouveau couple de personnages.
Lennox et Jamie sont meilleurs amis depuis leur enfance. Ils ont toujours vécu ensemble plus jeunes et continuent encore aujourd’hui à partager le même toit dans le petit paradis qu’ils ont bâti. 
Seulement, lorsque les Exécuteurs détruisent leur maison et qu’ils perdent tout, le seul endroit où ils peuvent se réfugier est dans le camps de Connor Mackenzie. Ils ne vont pas y rester longtemps car Reese, la chef d’un des plus puissants camps d’Insurgés, à besoin de Lennox et de quelques hommes de Connor. Jamie décide de les suivre car partout où va son meilleur ami, elle le suivra.
Même si Jamie et Lennox sont attirés l’un par l’autre, ils n’ont jamais osé franchir la ligne de non-retour. Ils ne veulent pas perdre leur belle amitié, un lien si rare dans leur monde à eux.
Mais il suffit d’une nuit pour que ce fragile équilibre bascule.

Nous découvrons dans « Addiction » un nouveau couple que nous avions déjà croisé dans le premier opus : Lennox et Jamie. 
La relation entre eux est dès le début intense. Ils sont meilleurs amis, ils ont partagé pleins de choses et ont vécu les plus beaux moments et les pires ensemble. Leur lien est fort et puissant, tous les Insurgés qu’ils croisent leur envient leur relation. 

J’aime particulièrement les romances qui commencent entre deux meilleurs amis. 
Dès le début, même si ce n’est pas évident pour eux, on sent qu’ils sont attirés l’un par l’autre. C’est incontrôlable et parfois ce n’est pas évident pour eux de refouler ce sentiment. Ce qui compte pour eux c’est leur lien, leur relation, qui est la chose la plus précieuse qui existe à leurs yeux.
Au fil des chapitres, on lit des passages très émouvants, dans lesquels Lennox et Jamie sont perdus et ne savent plus comment aborder les choses. Ils ont peur du changement et cette sensation est très bien emmenée par Elle KENNEDY. C’est encore plus important pour eux car le monde dans lequel ils vivent est dangereux et sans pitié et cette relation est l’une des seules choses positives qu’ils ont. 

J’ai apprécié l’évolution de leur relation. J’ai trouvé les personnages intenses, authentiques et émouvants. Cependant, leur relation change un peu trop vite à mon goût. Je sais qu’ils sont dans une situation qui fait que tout va trop vite justement, puisqu’ils ne savent pas s’il y aura un lendemain, mais j’aurais quand même préféré qu’ils prennent un peu plus leur temps pour se questionner.

La tension sexuelle est un aspect très important dans « Addiction », comme ce fut aussi le cas dans le tome précédent.
Seulement ici, j’ai trouvé que c’était plus tendre et moins brut. Il y a des scènes où la tension est à son paroxysme et notre coeur palpite avec eux.

Quant à l’intrigue en elle-même, beaucoup de mystères planent tout au long de ce livre.
On sait que Reese cache quelque chose, que sa ville n’est plus autant en sécurité que ce qu’elle était avant et qu’elle a un objectif qui nous est mystérieux.
On avance vraiment sur cette thématique que dans les derniers chapitres puisque l’histoire se focalise essentiellement sur la relation entre Lennox et Jamie, un peu comme ce fut le cas pour le premier tome. Cependant, ici, je n’ai pas ressenti un manque quel qu’il soit vis-à-vis de cela.
Le rythme du récit est bien maîtrisé et je n’ai pas eu une seule fois cette sensation d’ennuie.

La fin apporte son lot d’action et de changements.
On découvre enfin ce que cache Reese et ce qui attendent nos Insurgés dans leurs prochaines aventures.




En conclusion, « Les Insurgés, tome 2 : Addiction », est un tome plus équilibré et plus intense que son prédécesseur. Elle KENNEDY nous présente ici une romance forte et pleine d’émotions, qui saura satisfaire la grande majorité des lecteurs.
Maintenant, j’ai vraiment hâte d’avoir le troisième opus entre les mains et de découvrir l’histoire de Reese, la chef au coeur de pierre.








Avez-vous lu ce livre ? 

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vendredi 13 octobre 2017

Les Insurgés, tome 1 : Conquête ; Elle KENNEDY (Outlaws #1).

Édition : Hugo Roman
          Collection New Romance.
Prix : 17 €
Sortie : 14/09/2017
Pages : 335
Ebook : Oui - 9,99 

Les Insurgés, tome 1 :
Conquête
Elle KENNEDY.



Résumé.

Hudson Lane est la demi-sœur du leader des Souverains qui ont pris le pouvoir et instauré la loi martiale. Son frère a décidé de la marier à son second, ce qu’elle ne veut même pas envisager. Elle s’enfuit et risque la mort pour cette désertion.

Dans sa fuite effrénée, elle croise le chemin de Connor Mackenzie qui a pris la tête des Insurgés. Elle ne peut lui révéler sa véritable identité.
Entre ces deux-là naît une attirance immédiate, mais Connor n’est pas tout à fait prêt à accueillir une inconnue dans son groupe et Hudson va devoir lutter pour se faire accepter.
Elle découvre ce que c’est que de vivre avec les Insurgés, les difficultés et les dangers du quotidien.
Elle découvre aussi les histoires terribles qu’ont vécues ses nouveaux compagnons à cause des Souverains, en particulier celle de Connor et de sa famille.

Mais son terrible secret va finir par être découvert, sa situation au sein des Insurgés est devenue plus que précaire. Connor va-t-il accepter qu’elle reste parmi eux ?















Je remercie les éditions Hugo Roman et la collection Hugo New Romance pour ce livre.

Qui ne connaît pas Elle KENNEDY ? Avec sa série « Off-Campus », elle est devenue un auteur incontournable de la new romance et elle revient avec une nouvelle saga complètement différente.

« Les Insurgés » nous plonge dans un univers dystopique qui est bien loin de notre réalité.
La Terre a été ravagée par une guerre mondiale durant laquelle les armes nucléaires étaient utilisées à outrance. Après ce chaos, un Conseil Mondial a été constitué pour aider la population à aller mieux. Pour cela, il contrôle la reproduction des êtres humains en stérilisant tous ceux qui n’ont pas de gênes intéressants, limitant ainsi l’expansion de la population, et contrôlant également bien d’autres choses. En échange de ce ‘pouvoir’, le Conseil offre la protection en créant des colonies protégées par des combattants et des moyens technologiques, mais aussi la possibilité de jouir de tout le confort moderne, en passant par l’électricité ou l’eau chaude. 
Quant à ceux qui ne veulent pas être bridés par le Conseil Mondial, ils décident de s’enfuir et de vivre par leurs propres moyens : ils sont les Insurgés. Leur vie est rude, sans confort ni sécurité, mais ils préfèrent être maîtres de leurs destins plutôt que de vivre sous le joug d’une organisation qu’ils ne trouvent pas si juste que cela.
Une guerre s’est alors instaurée entre les Insurgés et le Conseil Mondial. Ce dernier a trouvé un moyen pour capturer tous les Insurgés : former des Exterminateurs, des guerriers entraînés et féroces qui les traquent sans arrêt. 

Hudson Lane est une jeune femme infirmière vivant dans une cité du Conseil Mondial. Son frère jumeau, Dominik, est le leader des Exterminateurs. 
Alors qu’elle n’a jamais remis en question ce modèle, elle va commencer à se rebeller lorsque son frère la force à se marier à son ami et bras droit, Knox, un exterminateur cruel et sans pitié. De plus, les Exterminateurs commencent à avoir un comportement étrange : ils n’hésitent plus à tuer les Insurgés au lieu de les capturer et leur proposer de vivre dans la Cité.
Alors un beau jour, elle s’enfuit. Seule et perdue, elle va croiser la route du beau et mystérieux Connor Mackenzie, un Insurgé. Une irrésistible attirance naît entre eux, mais la jeune femme ne peut lui dévoiler sa véritable identité, à lui qui voue une haine à son frère jumeau, Dominik.

Mêler la dystopie à la romance, deux genres qui me plaisent, ne pouvait que me ravir.
En plus, ayant adoré la série « Off-Campus » du même auteur, j’étais particulièrement curieuse de me plonger dans ce récit qui promettait d’être palpitant. 

L’histoire commence sur les chapeaux de roues. On entre directement dans le coeur du sujet avec la rencontre entre Hudson et Connor. Leur attirance est intense et malsaine en même temps, la force de leurs sentiments s’opposant à l’ambiance un peu lugubre de leur monde. 
J’ai apprécié que l’auteur commence de cette façon puisque cela nous aide à entrer dans l’histoire avec facilité.
Les passés des deux personnages nous sont révélés que bien après dans le livre. Ces instants de révélations nous aident à comprendre pourquoi Connor et Hudson sont tels qu’ils sont au moment de leur rencontre. Ce sont également des moments d’émotions puisqu’ils n’ont pas vécu des évènements heureux. 

« Conquête » est un premier tome qui nous plonge directement au coeur du quotidien des Insurgés. Hudson est une jeune femme qui a vécu une vie dans le confort, dans une ville qui ressemble un peu à ce que l’on peut connaître aujourd’hui.
Son entrée dans l’univers sans pitié des Insurgés est un choc, mais aussi une révélation. Ils vivent dans l’angoisse du lendemain, sans savoir jusque quand ils vivront, toujours dans la peur de se faire tuer par des Exterminateurs.
De ce fait, leur quotidien est débridé et sans aucune limite. Ils ne vivent que pour le présent et pour la seule chose que le Conseil Mondial ne peut leur enlever : le plaisir. 
Les scènes de sexe sont donc très présentes et sont très détaillées. On est loin du sexe conventionnel puisque les Insurgés font tout sans pudeur. Les ébats se font donc en très grande majorité devant tout le monde, peu importe où se trouvent les personnages, et sont régulièrement plus des orgies que des ébats à deux. 
J’avoue avoir été très surprise en arrivant à ces passages, un peu à l’image d’Hudson qui ne s’attendait pas à cela. Seulement, je n’étais pas charmée comme elle, mais parfois choquée. Je comprends l’importance de cet aspect dans l’histoire, mais c’est mené très brutalement et sans mesure. On participe grâce à cela à l’émancipation d’Hudson, à son initiation au monde des Insurgés, mais certaines scènes de sexe, selon moi, n’apportent rien au développement de l’histoire ou des personnages. 

De plus, j’ai eu un peu de mal avec la classification de cette série. Elle est annotée comme « dystopie romantique ». Même s’il y a effectivement une romance dans « Conquête », l’histoire est plus érotique que romantique. Cette classification peut donc être légèrement trompeuse et cela aurait été mieux de la noter comme « dystopie érotique ».

L’univers dystopique est quant à lui plutôt classique. Il réunit les éléments de base de ce genre d’univers et le résultat est plutôt réussi.

Ce premier tome se focalise sur la relation entre Connor et Hudson, laissant de côté un peu tous les autres éléments qui constituent cette histoire. J’ai trouvé au final cela un peu dommage parce que le rythme du récit ralentit durant tout le milieu du tome et certains chapitres sont longs car ils n’apportent pas grand-chose à l’avancé du récit.

Quant à la fin, elle est un peu facile à mon goût. 
J’ai eu du mal à croire que Connor change aussi rapidement d’avis, passant du rejet au secours en quelques heures, ni à la rédemption de certains personnages.




En conclusion, « Les Insurgés, tome 1 : Conquête » est un premier opus qui m’a laissé mi-figue, mi-raisin. Elle KENNEDY nous plonge dans son histoire dystopique avec facilité, nous faisant accepter son univers lugubre et de débauche. Seulement, je me suis sentie un peu perdue puisque je m’attendais à une dystopie ‘romantique’ et non pas ‘érotique’. Pour moi, il y avait donc trop de scènes de sexe, certaines étant complètement inutiles à l’avancée du récit. 
Même si les personnages sont charismatiques et attachants à leur manière, j’ai eu du mal à vraiment apprécier la relation entre Hudson et Connor. 
J’espère que le prochain tome sera plus rythmé au niveau de l’histoire et moins porté sur le sexe, pour que l’on puisse un peu mieux découvrir cet univers qui a pourtant tout pour plaire.







Un livre à lire si vous aimez les univers dystopiques et que les scènes de sexe à répétitions et débridées ne vous dérangent pas.







Avez-vous lu ce livre ? 

Votre avis m'intéresse donc n'hésitez pas à poster un petit commentaire.




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